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samedi 27 juin 2020

Je migre

Pour tenter de faciliter l'accès à certains de mes lecteurs qui ont du mal à commenter, je migre sur Wordpress  . L'expérience nous dira si c'est une expérience valable ou non vu que je ne maîtrise pas du tout WP.

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Il n'est ni scout ni curé, ça ne fera pas la Une de Libé ou de RTL

Source Sputnik

L’imam Mohamed Khattabi a été placé en garde à vue après une plainte pour viol et agression sexuelle sur mineure, relate La Gazette de Montpellier.
Déjà condamné en 2016 pour des faits de fraudes, l’imam de la mosquée Aïcha de Montpellier, Selon ses informations, c’est une jeune femme, membre de la famille du religieux, qui a déposé plainte contre lui fin 2019 pour des faits de viols et d’agressions sexuelles commis alors qu’elle était mineure.

Le journal souligne que ces accusations ne sont pas sans rappeler les rumeurs d’agressions sexuelles dont l’Imam Khattabi a fait l’objet il y a 15 ans, lorsqu’il dirigeait la mosquée de Beaucaire dans le Gard. Néanmoins, à l’époque, aucune suite judiciaire n’avait été donnée.
Dans le cadre de la nouvelle procédure, l’imam a été déféré devant le procureur de la République le 27 mai avant d’être placé sous contrôle judiciaire avec interdiction d’exercer. Il pourrait être jugé courant juin.
En mai 2016, le tribunal correctionnel de Montpellier a condamné Mohamed Khattabi et son épouse pour des faits de fraudes commis au préjudice de la Caisse d’allocation familiale et l’administration fiscale.

Marcel sur le Covid-19 au Racisme, Soros, Traoré/Floyd...






Marcel balance du lourd

vendredi 26 juin 2020

ID 2020 ou l'identification universelle pour les nuls.

Pour ceux qui ont déjà entendu parler d'une puce implantée sous la peau et destiné à nous identifier, mais qui n'ont pas trop fouillé le sujet. .

Sous des prétextes philanthropiques, la bande à Bill a concocté un système d'identiification universel destiné à terme à suppléer les papiers d'identité traditionnels et nationaux.
Se servant du triste sort des réfugiés (violons) Billy nous sert notre ration de pleurs et sort de sa manche ce système d'identification universelle

Ce projet n'a rien d'un phantasme c'est une triste réalité.



Accenture et Microsoft créent une solution blockchain pour soutenir l’initiative ID2020. Les deux entreprises travaillent ensemble sur un programme d’identité numérique.

Paris,le 19 juin 2017 – Accenture (NYSE : ACN) a développé un ensemble de technologies blockchain et biométriques visant à soutenir l’initiative ID2020, un consortium international public-privé dont l’objectif est d’aider plus de 1,1 milliard de personnes à attester de leur identité.

Environ un sixième de la population mondiale n’est en effet pas en mesure de participer à la vie culturelle, politique, économique et sociale car elle ne dispose pas de l’information la plus élémentaire : une preuve écrite attestant de son identité. Cette preuve est fondamentale pour garantir l’accès à un large éventail d’activités et services, notamment l’éducation, la santé, le vote, la banque, la téléphonie, le logement,les services sociaux ou encore la garde d’enfants. L’objectif de l’initiative ID2020 est de faire de l’identité numérique une réalité grâce à une approche technologique s’appuyant sur des systèmes dont la sécurité et la fiabilité ont été largement démontrées.

Travaillant en partenariat avec Microsoft et Avanade, Accenture a développé un prototype de gestion des identités basé sur la technologie blockchain -un système de base de données permettant à plusieurs parties prenantes de partager un accès aux mêmes informations, avec un degré de confiance et de sécurité extrêmement élevé.

Ce prototype, qui mobilise le savoir-faire d’Accenture dans le domaine des technologies blockchain et son expérience en matière de développement et de déploiement de systèmes biométriques à grande échelle, est mis en œuvre sur la plateforme cloud Microsoft Azure, réputée pour son envergure mondiale, sa flexibilité et sa sécurité. Ce système permet aux personnes de décider directement qui est habilité à accéder à leurs informations personnelles et dans quelles circonstances leurs données peuvent être publiées et partagées. Grâce à cette architecture de pointe de données décentralisée (ou « distribuée »), prise en charge par une multiplicité de parties de confiance sur la blockchain, il n’est plus nécessaire de disposer d’un organe de contrôle centralisé. Le prototype ne stocke aucune information personnellement identifiable : il sollicite des systèmes «hors chaîne » existants lorsque l’utilisateur individuel autorise leur accès. Accenture et Microsoft, les partenaires fondateurs de l’alliance ID2020 en matière de déploiement de ressources financières et technologiques, ont présenté aujourd’hui le prototype dans le cadre du sommet ID2020 de l’ONU.

« Les personnes ne disposant pas de preuve écrite de leur identité  souffrent d’exclusion », explique David Treat, Directeur chez Accenture, en charge de l’activité blockchain. « Notre prototype est personnel,  privé et portable. Il offre aux personnes les moyens de consulter et  partager des informations lorsque cela est approprié, de façon intuitive et sans avoir à se soucier des risques liés à l’utilisation ou à la  perte de documents papiers ».

Principe de fonctionnement

Le prototype d’Accenture est conçu pour interagir avec les systèmes de gestion d’identité déjà existants, de telle sorte que les informations personnellement identifiables sont systématiquement « hors chaîne ». Il est par ailleurs conforme aux principes de la Decentralized Identity Foundation (fondation pour l’identité décentralisée), dont Microsoft est membre fondateur, et utilise un protocole de blockchain privé (ou «permissioné») développé par l’initiative Enterprise Ethereum Alliance.

Pour résoudre les problèmes rencontrés par les personnes ne disposant pas de pièce d’identité officielle, Accenture va mettre à profit sa plateforme Unique Identity Service. Cette dernière permet de déployer un système biométrique unique, pour gérer les données liées notamment aux empreintes digitales et à l’iris. Grâce à cette technologie, les réfugiés sans papiers disposent, par exemple, d’un registre d’identité immuable, leur permettant de bénéficier d’une assistance dès qu’ils en ont besoin. La plateforme Accenture est au cœur du système de gestion des identités biométriques actuellement utilisé par le Haut Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés. À ce jour, plus de 1,3 million de personnes en provenance de 29 pays d’Asie, d’Afrique et des Caraïbes ont été enregistrées. Le système devrait prendre en charge plus de 7 millions de réfugiés, provenant de 75 pays, d’ici à 2020.


« La question de l’identité est selon nous l’un des grands enjeux du développement international. C’est également un domaine dans lequel Microsoft et le secteur privé sont idéalement placés pour apporter leur contribution », déclare Yorke Rhodes, Directeur de la stratégie chez Microsoft. « Nous sommes ravis de travailler avec Accenture et de mettre à profit la capacité, la flexibilité et la fiabilité de la plateforme Microsoft Azure pour soutenir l’initiative ID2020 et faire face à ce défi sociétal majeur. »


Le prototype a été pris en charge par l’équipe multidisciplinaire de The Dock, le nouveau centre de recherche et d’incubation d’Accenture, baséen Irlande. Une équipe de designers, d’ingénieurs logiciels et d’experts en blockchain a été constituée pour œuvrer à la concrétisation de cette vision.


« Nous avons là un excellent exemple de collaboration et d’innovation techniques visant à remédier aux grandes difficultés rencontrées par tant d’individus dans nos sociétés », poursuit Lorna Ross, Directeur groupe, en charge du studio de design Fjord d’Accenture au site The Dock. « Nous espérons que ce travail permettra de centraliser les efforts déployés partout dans le monde pour concevoir une solution garantissant le droit à l’identité pour tous les sans-papiers à travers le monde».

Le consortium ID2020 rassemble des gouvernements, des ONG, des professionnels de la technologie et des experts issus des secteurs public et privé, pour que les meilleures innovations technologiques soient mises en œuvre de manière évolutive, sûre et durable. Accenture a déjà joué un rôle clé dans un programme similaire, en tant que membre fondateur et partenaire de conseil de l’initiative Partnership for Refugees, qui assure à titre bénévole des prestations de conseil stratégique, de gestion de projet et de services numériques. Cette initiative a aidé plus de 50 entreprises à mieux comprendre les besoins des réfugiés pour élaborer des réponses efficaces dans trois domaines clés : l’éducation, l’emploi et l’habilitation.

« L’un de nos objectifs chez Accenture est d’améliorer la façon dont le monde fonctionne grâce aux technologies numériques, afin de résoudre certains de nos défis les plus pressants », déclare Marty Rodgers, en charge des travaux d’Accenture dans le cadre de l’initiative Partnership for Refugees, et Global Lead d’Accenture pour l’activité ONG. « ID2020 est un nouvel exemple de la volonté d’Accenture et de ses partenaires de travailler ensemble pour venir en aide aux personnes qui en ont le plus besoin ».

À propos d’Accenture

Accenture, l’un des leaders mondiaux des services aux entreprises et administrations, propose une large gamme de services et solutions en stratégie, conseil, digital, technologie et gestion déléguée d’opérations. Combinant son expérience et son expertise dans plus de 40 secteurs d’activité et pour toutes les fonctions de l’entreprise - en s’appuyant sur le plus grand réseau international de centres de services - Accenture intervient à l’intersection de l’activité de ses clients et de la technologie pour les aider à renforcer leur performance et créer de la valeur sur le long terme. Avec plus de 411 000 employés intervenant dans plus de 120 pays, Accenture favorise l’innovation pour améliorer le monde de demain. Retrouvez-nous sur www.accenture.com.

L'agence européenne autorise le remdesivir contre le covid-19

Un scandale de plus dans la ténébreuse affaire du Covid-19.
Alors que l'Hydroxychloriquine  est toujours bannie officiellement du traitement contre la coronavirose malgré des résulatats incontestables où il est employé selon le protocole mis au point par l'équipe du professeur Raoult et plus important, alors que les antipaludéens montrent leur efficacité, un peu malgré eux dans les pays où ils sont prescrits en raison d'une malaria endémique.
A comparer le taux de létalité de la France métropolitaine 28,31% avec celui de Mayotte 1,42% ou de la Guyane 0,90%. Ça se passe de commentaire superflu !

Après avoir trainé des quatre fers, nous avoir proposé des protocoles d'expérimentation débiles, administré ll'hydroxychloroquine dans des conditions où tout le monde savait qu'elle ne servirait plus à rien, les autorités médicales tutélaires accordent l’autorisation à un médicament antiviral fortement controversé aux très forts effets secondaires pour un gain quasi nul. Qu'est-ce que c'est que de gagner 4 jours de guérison quand on reste en moyenne plus de trois semaines  à l'hôpital et bien plus pour les cas très graves visés par le médicament .
"Une étude réalisée sur plus de 1000 patients hospitalisés atteints du Covid-19 a en effet démontré que ceux traités par du remdesivir se rétablissaient en moyenne quatre jours plus vite que les autres malades, affirme l’EMA.
“Cet effet n’a pas été observé chez les patients atteints d’une maladie légère à modérée”, a précisé l’agence. Même si le remdesivir a montré une certaine efficacité pour accélérer le rétablissement des malades hospitalisés à cause du Covid-19, il n’a pas été prouvé qu’il permettait d’éviter des décès." (Huffington Post)
En clair ce médicament ne sert à rien ou presque  mais il est, lui, autorisé . On ne dira pas, mais rien n'interdit de penser que d'un coût de dix fois supérieur à l'hydroxychloroquine, les gains attendus seront d'une toute autre ampleur pour le laboratoire GILEAD.
Nous ne relèveront pas non plus les liens étroits et de relativement longue date entretenus entre la fondation B1M Gates et GILEAD sur des affaires toutes aussi tordues  comme l'essai du tenofovir  en 2003. On apprend aussi que la fondation B1M Gaztes pilote un consortium de l'industrie pharmaceutique ou figure en bonne place GILEAD. etc.
Pour information je n'ai même pas fait de tri dans les liens ci-dessus quand on tape "gilead fondation gates" dans gogole ce sont 208 000 résultats qui arrivent.

 Dans les années antérieures, le pouvoir, au sens large, craignait le peuple et ses sautes d'humeur. Il faisait au moins semblant d'y prêter une certaine attention.
Ainsi De Gaulle, Mitterrand, Chirac, ont , à tort, ou à raison, tenu compte de la rue.

Les nouveaux gouvernants n'en ont plus rien à foutre de nous. Tenons nous le pour dit. Ils ne font même pas semblant  de tenir compte de nous. C'est avec un petit sourire narquois ou en se pinçant pour ne pas rire que Juju joue les présidents, que ses services de santé se foutent de nous et que les différentes instances internationales font de même.

Vous n'aurez pas de traitement adapté parce qu'il faut que vous soyez vaccinés, et il faut que vous soyez vaccinés parce qu'il faut que vous soyez identifié mondialement grâce au plan ID-2020 qui consistera à vous implanter "pour votre bien" une puce qui signalera que vous êtes "sûr", en fait pour suivre vos mouvements en temps réel grâce à un réseau 5G dont c'est le but primordial, et tout cela dans le cadre d'une société globalisée où vos déplacements seront contrôlés et limités à quelques uns bien balisés.

Pour la plupart des veaux ça ne changera pas grand chose, probablement pourront-ils toujours aller à Djerba ou à Punta Cana.
Seuls les esprits libres y perdront quelque chose, du moins s'en apercevront-ils vraiment.


jeudi 25 juin 2020

Les États-Unis admettent qu’ils sont responsables de la faim en Syrie – Le Cri des Peuples

Les États-Unis admettent qu’ils sont responsables de la faim en Syrie – Le Cri des Peuples


 L’envoyé spécial des États-Unis en Syrie,   James Jeffrey, a annoncé dimanche que Washington avait proposé à la    Syrie de mettre fin aux sanctions américaines. Le ministère des Affaires  étrangères et des Expatriés à Damas a déclaré que les déclarations de    James Jeffrey constituaient un aveu clair de la part de l’administration   Trump qu’elle était directement responsable des souffrances des   Syriens. Les Syriens considèrent les sanctions croissantes comme une  guerre économique, imposée  après l’échec des États-Unis à provoquer un «changement de régime » en utilisant des terroristes soutenus par la CIA    (comme le reconnaît même le New York Times).
 Damas déclare que les sanctions violent les droits de l’homme et le droit international car elles affectent la population syrienne.    Le Président Trump a hérité de la guerre   en Syrie fomentée en premier lieu par son prédécesseur, l’ancien Président Obama. En 2016, Trump a fait campagne en promettant d’arrêter    le soutien américain à la guerre en Syrie ; cependant, il a depuis   envahi et occupé plusieurs zones en Syrie et a déclaré qu’il était là   pour empêcher la Syrie d’utiliser ses ressources en pétrole. Quant à la    Russie, elle est entrée en Syrie en 2015 à la demande de Damas pour   aider à la lutte contre les terroristes d’Al-Qaïda et de Daech. L’Iran   et le Hezbollah étaient intervenus aux côtés de Damas respectivement en  2011 et 2013.    Les sanctions les plus récentes sont prévues pour durer 5 ans et peuvent être levées si sept critères   sont remplis ; cependant, les deux premiers points sont conçus  spécifiquement pour empêcher la lutte contre les terroristes d’Al-Qaïda    qui contrôlent Idlib et détiennent environ 3 millions de personnes comme   boucliers humains. La Syrie et la Russie, son alliée en Syrie, ont toutes deux déclaré que vaincre le terrorisme était un objectif  stratégique.
 Les sanctions américaines contre la Syriese sont accumulées en diverses couches depuis 1979 et ont augmenté au cours de la période 2011-2020, aboutissant aux sanctions les plus  récentes de ce mois-ci. Certains représentants de l’ONU et des ONG occidentales ont dénoncé les sanctions comme inefficaces et inhumaines.
 Un homme d’affaires de Damas a déclaré : « Les sanctions aideront à empêcher la Syrie de parvenir à une quelconque forme de rétablissement », tout en ajoutant : « Les riches expatriés ne reviendront pas tant que des sanctions seront en vigueur ».
 Le frère Firas Lutfi, de l’ordre franciscain des Gardiens de la Terre Sainte, a accordé une interview vidéo à « Rome Reports »,   dans laquelle il a donné son témoignage de première main sur la Syrie avant, pendant et après la guerre. Il a rappelé son ancienne vie à Alep   et a expliqué le sort des chrétiens persécutés, qui avaient joui de la   pleine liberté de religion en Syrie jusqu’à ce que les terroristes  d’Al-Qaïda déferlent sur le pays suite à l’attaque coordonnée par les   Frères musulmans qui a commencé en 2011.  Les terroristes ont été vaincus, à l’exception d’Idlib ; cependant, une nouvelle forme de terreur est  arrivée sous la forme du virus COVID-19. Bien que le nombre de cas soit  faible en Syrie, l’effet du confinement a conduit à la pauvreté, car les  revenus ont été arrêtés. Le frère Lutfi a téléphoné à un ami en  Syrie, qui lui a affirmé : « Je préfère mourir du coronavirus que de    faim. Je ne peux pas me permettre de voir mes enfants mourir sous mes  yeux, sans pouvoir rien faire. »
 Le prix des aliments de base en Syrie a  augmenté de 111% en un an. Le coût de la nourriture, des médicaments et d’autres produits de base grimpe en flèche sur les marchés syriens,  tandis que la livre syrienne s’effondre en valeur. La valeur de la livre  syrienne sur le marché informel est passée d’environ 940 livres pour un  dollar américain en janvier à un taux de change d’environ 4 000 livres pour un dollar récemment. De 1992 à 2011, le taux est resté stable à 50  livres syriennes pour 1 dollar. Les années de guerre et les sanctions  américaines ont dévalué la monnaie syrienne et plongé les Syriens de la  classe moyenne dans la pauvreté.
Depuis peu, certains magasins et  pharmacies gardent leurs portes fermées car la valeur de la monnaie  baisse trop vite. La hausse des prix des produits essentiels, dont le  gaz de cuisine et le pain, cause des souffrances. Même dans les zones  qui n’ont pas été attaquées par des terroristes et qui ont passé la  guerre dans un calme relatif, les effets des sanctions, qui se sont  traduites par une guerre économique, se font ressentir.
 Le Programme alimentaire mondial des Nations Unies a rapporté une enquête en avril selon laquelle environ un  tiers de la population ne mangeait pas suffisamment, tandis que 87%  avaient épuisé leurs économies après 9 ans de guerre...



La suite sur Le Cri des Peuples











Les manfdarins de la médecine : des blaireaux dans leur terrier Raoult dixit





C'est clair et dit en peu de mots. Mais les députés ont dû aussi se sentir visés, ce qui montre que cet homme est un peu innocent et les hommes seront certainement moins magnanimes que Dieu.


mercredi 24 juin 2020

Le Conseil d'Etat élève l'avortement au niveau d'une nécessité

Pendant le confinement, CIVITAS a déposé une requête en référé liberté contre l’extension de l’avortement favorisée parmi les mesures pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire. Le gouvernement a favorisé l’avortement dit « médicamenteux » (IVG) mais également l’avortement postérieur à 12 semaines nommé interruption médicale de grossesse (IMG).
D’une part, le gouvernement a autorisé la réalisation, en dehors d’un établissement de santé, d’une interruption volontaire de grossesse par voie médicamenteuse au-delà du délai de cinq semaines de grossesse pour l’étendre à sept semaines. D’autre part, il a permis la prescription, dans le cadre d’une téléconsultation, des pilules nécessaires à la réalisation d’une interruption volontaire de grossesse par voie médicamenteuse.
Le Conseil d’État a jugé que le gouvernement était habilité à prendre ces décisions qui relevaient pourtant du domaine de la loi car ces mesures « étaient strictement nécessaires et proportionnées aux risques sanitaires encourus et appropriées aux circonstances de temps et de lieu. » Il a ensuite rajouté qu’ « il ne résulte pas de l’instruction que les mesures litigieuses ne sont, à ce jour, plus justifiées, eu égard, notamment, aux conditions dans lesquelles les établissements de santé fonctionnent actuellement et compte tenu de ce que le télétravail reste autant que de possible privilégié. »
Le jugement se passe de commentaire et est laissé à votre libre appréciation. Malgré une situation sanitaire sous contrôle, le Conseil d’État permet au gouvernement d’intervenir dans le domaine de la loi et considère que ces mesures sont proportionnées à la situation actuelle.
Par ailleurs, le gouvernement sous la houlette du ministre de la Santé a écrit plusieurs recommandations permettant une interruption de grossesse pour raison médicale (donc jusqu’au terme de la grossesse) sous prétexte de “situation de détresse psychosociale”.
Lors du contradictoire, quel a été notre étonnement lorsque l’administration a écrit que cela se pratiquait déjà et qu’elle a produit un rapport de l’Agence de la biomédecine mentionnant qu’il existait déjà des avortements postérieurs à 12 semaines dont certains après sept mois de grossesse pour « détresse psychologique sans anomalie fœtale ».
Malgré l’aveu de l’administration qui n’a fait aucune différence entre détresse psychologique et détresse psychosociale, le Conseil d’État a jugé qu’aucun élément figurant dans ce rapport ne permet de conclure qu’il s’agirait, en réalité, d’un motif de « détresse psychosociale » et « à défaut d’autres éléments produits dans le cadre de l’instruction contradictoire, la situation dénoncée par les requérantes ne peut, en tout état de cause, être regardée comme établie. Il n’y a donc pas lieu de se prononcer sur la question de sa légalité ». Le Conseil d’État n’a même pas cherché à nous demander lors de l’instruction de produire des pièces de ce que nous pensions établi du seul fait des termes utilisés par le ministre Véran et de l’aveu même de l’administration. Nous restons donc dans un flou juridique, le Conseil d’État ne dit pas que cette situation n’existe pas mais seulement qu’elle n’est pas démontrée en jugeant malgré les dires de l’administration qu’il y a une différence entre détresse psychologique et détresse psychosociale comme motif pour une IMG. Par ailleurs, il ne se prononce pas non plus sur la légalité des recommandations du ministère de la santé.
Bien que CIVITAS soit très déçu de cet arrêt qui ne répond finalement pas aux questions posées, nous tenons à vous remercier de vos prières et nous tenons à vous dire que le combat de CIVITAS continue pour la vie mais également pour toutes les valeurs catholiques.
La cellule juridique de CIVITAS prépare dès à présent de nouveaux recours contre ces mesures mortifères insensées.

L'application Stop Covid est un vrai filet destiné à collecter les identités de tous les smartphones à proxilité

L’application StopCovid collecte plus de données qu’annoncé
Et c'est l'Immonde qui le dit, donc selon la doxa en vigueur, c'est plus vrai que vrai.

Contrairement à ce qui était annoncé,  l'appli StopCovid ne se contente pas de relever l'identité électronique d'un malade présent pendant 15 minutes au moins à moins d'un mètre, mais tout ce qui traine dans un rayon de plusieurs mètres.
C'est exactement le genre de craintes que nous avions dit et écrit et qui une fois de plus se confirme.
Le gouvernement le reconnaît ─ et pourquoi ne le ferait-il pas puisque les parlementaires s'en battent les nouilles ?

Bref, bien que peu de personnes aient téléchargé ce logiciel espion, elles sont capables, en ville en particulier, d'identifier une masse énorme de citoyens lambdas ou pas.


mardi 23 juin 2020

DR Perronne "je ne peux pas accepter ça !"


Le confinement augmente catastrophiquement la mortalité due au COVID-19

Contrairement à l’avis du « décodeur » du Monde, nous confirmons que le confinement aveugle et policier a augmenté la mortalité.
Dans un article des décodeurs du monde du 15 juin[1],  en réponse à notre article sur le confinement dans France soir [2] William Audureau, journaliste, présente le docteur G Delépine chirurgien orthopédiste et cancérologue[3] comme un « cancérologue controversé ».   Réaction de l’intéressé : « première nouvelle, je suis très surpris de l’apprendre, car pour la communauté internationale des chirurgiens des cancers des membres, je représente plutôt un chirurgien novateur de la chirurgie évitant l’amputation, reconnu dans le monde entier, ainsi qu’en attestent les invitations qui m’ont été faites d’aider des collègues dans plus de 10 pays d’Europe et d’Afrique, mes articles référencés dans PubMed[4] , et des conférences ou des modérations de séminaires de congrès de très nombreuses sociétés internationales dans plus d’une trentaine de pays depuis plus de 30 ans. Je suis encore souvent sollicité pour des avis tant en France qu’à l’étranger, n’en déplaise à nos critiques du Monde ».
Un excellent article du docteur Delépine en collaboration avec France Soir que je vous invite à découvrir sur le site de ce journal.
On y apprend tout plein de choses intéressantes et en particulier que l'épidémie a explosé en Belgique et en Italie après le confinement et que l'Italie n'a repris la main qu'avec l'utilisation de l'hydroxychloroquine.
A lire avant la "seconde vague" pour laquelle j'ai ma petite idée si elle survenait .

Lever de doute






Pour ceux qui auraient encore des doutes

lundi 22 juin 2020

Bamako


Une fresque Traoré/Floyd inaugurée à Stains suscite la colère du syndicat policier Alliance

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/76186-fresque-traorefloyd-inauguree-stains-suscite-colere-syndicat-policier
Une fresque Traoré/Floyd inaugurée à Stains suscite la colère du syndicat policier Alliance

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/76186-fresque-traorefloyd-inauguree-stains-suscite-colere-syndicat-policier
A Stains une fresque Traoré:Flyoyd ne plait pas au syndicat alliance

Le dimanche à Bamako c’est le jour de mariage
Le dimanche à Bamako c’est le jour de mariage
Le dimanche à Bamako c’est le jour de mariage
C’est le jour de mariage

Les djembés et les dununs résonnent partout
Les balans et les tamas résonnent partout
La kora et le n’goni sont aussi au rendez-vous

Le dimanche à Bamako c’est le jour de mariage
Le dimanche à Bamako c’est le jour de mariage

Les parents et les sympathisants sont au rendez-vous
Les copains et les voisins sont au rendez-vous
Les Fonés et les Djélis sont aussi au rendez-vous

Le dimanche à Bamako c’est le jour de mariage
Le dimanche à Bamako c’est le jour de mariage

Les hommes et les femmes ont mis leurs beaux boubous
Les bijoux et les chaussures sont au rendez-vous
Les bazins et les bogolans sont au rendez-vous
La mariée et le marié sont aussi au rendez-vous

Le dimanche à Bamako c’est le jour de mariage
Le dimanche à Bamako c’est le jour de mariage
C’est le jour de mariage
C’est le jour de mariage 

Le Satanisme à Hollywood







Qu'on y croit ou pas, eux y croient et agissent en conséquence

samedi 20 juin 2020

Une autre vision des dessins animés japonais (enfin de certains dessins animés)

Miyazaki l'initiateur








Vous ne regarderez plus les dessins animés japonais du même œil