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jeudi 6 juin 2013

Enfin ! Manouel exoulte !

Vouloir présenter à tout prix le jeune gauchiste comme une victime alors qu'il était le primo agresseur, sous prétexte  qu'il est mort, est bien dans les méthodes de  la graine d'assassin qui nous gouverne.
Les fait bruts sont un peu plus gris, un peu moins contrastés  que ceux que nous présentent la presse ce matin :
Selon une source policière, une vente privée de vêtements était organisée rue Caumartin (9e arrondissement), à laquelle assistait notamment la victime avec trois autres camarades. Trois jeunes gens «de type skinhead», dont une femme, sont arrivés dans les lieux et il y a eu invectives et bousculades entre ces groupes, selon les premiers éléments de l'enquête confiée au 1er district de police judiciaire (DPJ) se basant pour l'heure sur de «nombreux témoignages directs». Les skinheads seraient sortis et auraient attendu «avec des renforts» devant la magasin. La victime «a été frappée par l'un des skins qui avait un poing américain et a chuté sur la chaussée en heurtant un plot au passage».
En clair quatre gauchistes agressent trois droitistes (dont une femme) .

[Les droitistes décident de ne pas régler ça sur place mais dehors] (et peut-être même pas : voir les commentaires). Selon certaines sources ils sont renforcés par d'autres personnes dont le nombre n'est pas précisé et un gauchiste reste malheureusement au tapis.
C'est une rixe malheureusement classique et les gauchistes aujourd'hui victimisés ne sont pas en reste pour les tabassages. On ne demande pas alors la dissolution de leurs mouvements.

Mais la rapidité de Manouel Gaz et de Pierre Derché (celui là même qui appelait de ses vœux un attentat  contre les opposants à la loi taubira) à faire une transposition sur la Manif pour Tous mériterait la démission de ce :. haineux et sectaire.

Allez-y voir aussi chez l'ami LHDDT

Edit 
Un cas similaire dont on peut être sûr qu'il ne débouchera sur rien d'autre que des suites pénales ordinaires modérées par la bienveillance d'une "bonne justice" : ici et (révélé par le blogueur Sisyphe).

18 commentaires:

  1. Tu me forces à faire un lien avec ma feuille. Crotta-zutte !

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  2. J'oubliais ..

    La montée de la Marine (la grosse bébête qu'immonde, immonde)..

    Si c'était un skin - aurait-on eu droite à ce même tapage ?

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  3. bien sur que non et c'est bien là le problème. L'indignation fonctionne à sens unique dans ce pays .
    Allez je te lie aussi .

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  4. On sait que le gauchiste était l'agresseur ?

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  5. Ca sent l'enfumage à plein nez

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  6. ça change tout, ce témoignage.
    C'est un accident !
    Il faut voir le nombre de tabassages dont ont été victimes les colleurs d'affiches, même en période électorale, ou les participants à des meetings du FN. Il y a même eu des morts, en certaines périodes.
    Qui en a entendu parler ?

    Certains meetings ont même été empêchés, purement et simplement, alors qu'ils étaient autorisés, la salle louée, etc…

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  7. "D’après les premiers éléments, Clément et les individus caractérisés comme «skinheads» ont eu une première altercation avec échanges d’insultes lors d’une vente privée de vêtements, notamment des marques Fred Perry et Ben Sherman, particulièrement prisées des skinheads mais aussi des antifascistes, rue Caumartin. Ces deux groupes se sont-ils rencontrés de façon fortuite ? Se connaissaient-ils ?


    «C’est étrange, j’ai eu l’impression que les deux groupes se connaissaient car quand l’un des amis de la victime a discuté avec un policier, je l’ai entendu dire: "On sait qui c’est"», confiait mercredi soir un témoin qui a assisté à la bagarre. «L’année dernière, à la même vente privée, il y avait déjà eu des embrouilles. Un groupe de jeunes attendait les gens à la sortie», a par ailleurs indiqué à 20 Minutes une cliente occasionnelle du magasin.

    «En tout cas, ce qu’il s’est passé n’est probablement pas aussi simple que ce que l’on pourrait croire. C’est sûrement beaucoup plus complexe», a déclaré à 20 Minutes une source policière. L’enquête et l’audition des suspects permettront d’éclairer les zones d’ombres de cette affaire."


    et Manouel d'avouer :

    Soyons prudents sur les circonstances de cette agression», a t-il déclaré. Différentes versions ont été avancées mais aucune ne peut encore être confirmée ce jeudi."

    De plus ils étaient à 4 contre 2 et une femme, ils ont dû se sentir pousser des ergots de coq malgré leur culte du transgenre.

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  8. et la version de Serge Ayoub le leader fondateur des JNr est encore plus accusatrice

    Serge Ayoub, le leader des Jeunesses nationalistes révolutionnaires (JNR), a démenti ce jeudi toute implication de son groupe.

    Selon Serge Ayoub, qui dit avoir «eu le temps de se renseigner» sur l'agression, «trois jeunes hommes et une fille, la compagne de l'un des jeunes», se sont rendus «normalement» mercredi dans une vente privée du quartier de la gare Saint-Lazare. Selon lui, ce sont «des jeunes qui ont le malheur d'avoir les cheveux trop courts et une marque de blouson qui déplaît à d'autres».

    Sur le lieu de la vente privée, «ils ont été pris à partie par cinq militants d'extrême gauche qui leur ont promis de les massacrer à la sortie. Le service d'ordre de la vente privée en a été témoin. Il a proposé à ces trois jeunes plus la gamine d'attendre», affirme-t-il. «La sécurité est descendue pour demander aux jeunes d'extrême gauche de s'en aller. Au bout d'une demi-heure d'attente, la sécurité leur a proposé [aux autres jeunes] de descendre en disant que cela s'était calmé», poursuit Serge Ayoub.

    «Quand ils sont descendus dans la cour -la vente se situait dans les étages-, les jeunes d'extrême gauche les attendaient. La sécurité est sortie une deuxième fois pour les accompagner dehors.» «Un peu plus loin dehors, ces cinq jeunes hommes les attendaient encore. A ce moment-là, les jeunes d'extrême gauche ont porté les premiers coups, en tout cas il y a eu une bousculade», assure le leader des JNR. Selon lui, «les trois (militants d'extrême droite) n'avaient qu'une seule envie c'est de s'en aller, de partir».


    Si ce témoignage est vrai il y a provocation caractérisée et même pas de renfort extérieur . Du coup on comprend mieux la valse à six temps de Manouel.

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  9. La récupération politique archi-connue, archi-éculée (Oussekine, Rosiers, Carpentras, Brunerie, fausse agression antisémite du RER...) mais qui marche toujours !
    Ca devrait permettre au gélatineux de se la jouer gaulliste et de dissoudre quelques groupes qui déplaisent à sa majesté normale...
    Après les gazages, les matraquages et les arrestations arbitraires, ce serait un pas de plus vers le totalitarisme dur socialo-bolcho-bobo-écolo :.
    Ce régime empeste...

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  10. Ouais, c'est bien ce qui me semblait...

    Provocation et violence -> défense de l'agressé -> agresseur sur le pavé -> accusation de la victime qui s'est défendue.

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  11. @ CCRIDER et Hanoho

    Les vieilles recettes fonctionnent toujours.

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  12. Mais c'est quoi cette vente privée de vêtements ?
    C'est légal, ça ?
    dans un appartement privé ?

    Bin et ma patente, mes taxes ? Et qui paie mes vigiles, ceux qui ont demandé aux jeunes d'aller se bastonner dehors ?

    Et ils sont fabriqués où, ces vêtements?
    Dans un atelier clando à Aubervilliers ?

    Tout ça n'est pas clair.
    je renifle le truc organisé pour que des jeunes opposés se croisent et se massacrent.
    Il leur fallait du sang, ils l'ont dit assez haut !

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  13. "Le service d'ordre de la vente privée en a été témoin."

    Fondamental, ça, mais il aura ptet oublié les détails !

    Et s'il devait y avoir démenti des circonstances de l'accident, jamais ils ne le feront publiquement.

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  14. comme je le dis plus loin même France Info a été obligé de reconnaitre que les agresseurs n'étaient pas les horribles fââââchissss

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  15. France Info a dû en bouffer son chapeau ^^

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  16. Pour que même eux l'avouent à 8 heures du matin c'est l'affaire était loin d'être jouéée d'avance pour eux.

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  17. Oué, mais jamais ils ne diront la vérité publiquement.
    Ils ne diront jamais "on vous a menés en bateau".
    Ils veulent dissoudre les groupes droitards.

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  18. publiquement la vérité a été dite. Maintenant on va voir s'il y a corrélation avec la vérité, la vérité politique puis la vérité judiciaire.
    J'avoue ne pas connaitre les JNR et leurs moyens mais il y aura surement matière à faire un recours en justice assez long.

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