En poursuivant votre navigation vous acceptez l'installation de cookies

mercredi 30 avril 2014

Rien ou un tout petit rien

Je l'avoue, en ce moment je suis sec.

Les pantalonnades gouvernementales ne m'indignent même plus, la cohabitation socialo-socialiste ne me fait même plus sourire.
A droite, le désert ! Coppé joue l'indignation, à peine relayé par les éléphants qui ruminent au soleil et baillent dans l'hémicycle.
Le fuet catalan tente de s'acheter une honorabilité depuis qu'il est premier sinistre. On ne peut même plus se plier de rire lorsqu'il prend sa tête de Manuel le Sévère. Il nous la joue décrispé. Il y a bien Sapin qui confond croasser et croître, mais depuis la bravitude de Ségolène on est habitué à la maîtrise approximative du français par nos dirigeants.
Hollande affiche profil bas, son scooter n'a pas été signalé dans le quartier ces derniers temps.

Bref, la politique est morose, l'espoir est en berne . La France aussi. Heureusement reste l'amour qui vient avec le printemps.


lundi 21 avril 2014

Le temps des assassins en col blanc - Empêcher la fin de l’Europe ! - Metamag.fr

Le temps des assassins en col blanc - Empêcher la fin de l’Europe ! - Metamag.fr



[..]  Ils veulent imposer en particulier le traité euro-atlantique dont le
contenu est un crime contre l’Europe car il prévoit de garantir durant
120 ans des droits d'auteur pour tous les contenus émanant des
propagandistes de Hollywood. Ils ne créent rien. Ils pillent la culture
mondiale. En pratique, ils font payer des droits de reproduction (et non
de création). [...]

mercredi 16 avril 2014

Ma tante Anastasie

Le CSA veut censurer Internet | Nouvelles de France Portail libéral-conservateur

BFM Business a mis la main sur le prochain rapport annuel du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel (CSA), dans lequel l’autorité administrative confirme sa volonté de réguler le web sur le même mode que la télévision à l’ancienne.
Le CSA propose au Gouvernement, qui doit présenter dans les prochaines semaines le projet de loi Création préparé par Aurélie Filippetti, de lui confier la possibilité d’accorder un label « site de confiance » aux seuls sites internet qui signent une convention... la suite ici

Ce qui est bien avec les socialistes c'est qu'ils sont prévisibles. Dès qu'il y a une ignominie à commettre, ils la commettent et de bon cœur. Et toujours au nom des Grands Principes.


Anastasie : nom d'argot pour la censure

Mieux vaut tard que jamais, mais est-ce encore temps ?

Le gouvernement Valls vient de prendre à reculons et à contrecœur quelques mesures d'austérité qui auraient dû être prise il y a au moins quinze ans. La pseudo-droite n'a donc ni a critiquer ni à se féliciter du travail qu'il lui revenait d'accomplir.
Elle ne seront pas suffisantes tant que les règles européennes n’auront pas évolué mais après des années d'atermoiement, enfin des mesures concrètes sont prises.
Nous attendons désormais du gouvernement qu'il poursuive dans cette voie et qu'il n'hésite pas à remettre en cause les avantages des pustules de la Ripoublique à savoir les représentants dont le nombre pléthorique devait être divisé par deux au moins.

mardi 15 avril 2014

La secrétaire d'Etat au commerce extérieur est sortie de réanimation ... pas le commerce

La secrétaire d'Etat chargée du Commerce est soignée depuis vendredi pour un "syndrome méningé". Placée en réanimation durant plusieurs jours, elle serait aujourd'hui dans un état stable. (Metronews)

On aimerait en dire autant du commerce extérieur de la France

dimanche 13 avril 2014

Ukraine : quelques clés pour comprendre la partie d'échecs.

Ce qui se passe ces derniers jours en Ukraine nous montre que le plan d'encerclement de la Russie continue de se dérouler. Le pire dans cette affaire, c'est que les mondialistes se servent des Ukrainiens qui n'ont rien à gagner dans cette affaire. Ils ont le choix entre redevenir un satellite russe ou une future Grèce.

Perspectives peu réjouissantes en l'occurrence !

Mais que nous dit notre ami Zbigniew ?

Pour l'Amérique, l'enjeu principal est l'Eurasie. Depuis cinq siècles , les puissances et les peuples du continent qui rivalisent pour la domination régionale et la suprématie globale ont dominé les relations internationales.  Aujourd’hui, c'est une puissance extérieure qui prévaut en Eurasie et sa primauté globale dépend étroitement de sa capacité à conserver cette position.

[...]
Le jeu se déroule sur cet échiquier déformé et immense qui s'étend de Lisbonne à Vladivostok. si l'espace central peut être attiré dans l'orbite de l'Ouest (où les Etats-Unis jouent un rôle prépondérant), si le Sud n'est pas soumis à la domination exclusive d'un joueur et si l'Est ne réalise pas son unité de sorte que l'Amérique  se trouve expulsée de ses bases insulaires, cette dernière conservera une position prépondérante. Mais si l'espace central rompt avec l'Ouest et constitue une entité dynamique capable d’initiatives propres ; si dès lors, il assure son contrôle sur le Sud ou forme une alliance avec le principal acteur oriental, alors la position américaine en Eurasie sera terriblement affaiblie
A l'Est, l'union des deux principaux acteurs aurait des conséquences similaires. Enfin, sur la périphérie occidentale, l'éviction des Etats-unis par ses partenaires signerait la fin de la participation américaine au jeu d'échecs eurasien [...]


Dans son ouvrage," L'Amérique et le reste du monde . Le grand échiquier" Zbigniew Brzezinski, décrit la partie d'échecs que doivent jouer les USA sur ce qu'il nomme "l’échiquier eurasien", échiquier à quatre grosses cases inégales, si l'Amérique veut conserver la maîtrise du jeu et conserver son hégémonie mondiale.

On notera au passage, la différence de qualité de pensée stratégique entre les clowns de Bruxelles et les têtes américaines. Ce qui pèche chez les Américains, c'est la réalisation, mais la pensée stratégique est là et bien là!
 Comme l'espace central est non contrôlable par les USA en raison de sa position et de son étendue, il faut  d'une part éviter que cet espace central ne puisse exercer son contrôle sur les espaces périphériques, d'autre part le faire reculer autant que faire se peut jusqu'à des limites où son influence sera quasi nulle.
On voit sur cette carte qui est une copie de celle publiée dans l'ouvrage que les derniers conflits en Europe comme les Balkans, la Tchétchénie  la Géorgie ou l'Ukraine se situent tous, comme par hasard, sur la ligne de démarcation de l'espace central avec les espaces Ouest ou Sud.
Puisque aujourd'hui c'est l'Ukraine qui nous intéresse, je l'ai faite ressortir en rouge et on appréciera sa position à cheval sur trois espaces.

Le Sourire à visage humain.

Au moment où, pour prouver "qu'il avait entendu les Français", Flanby vient de nous équiper d'un gouvernement de godemichets destiné à faire patienter les foules en leur procurant un minimum de plaisir j'ai trouvé intéressant de republier un petit bijou de Philippe Muray sur le sourire ségolesque.

Notre époque ne produit pas que des terreurs innommables, prises d’otages à la chaîne, réchauffement de la planète, massacres de masse, enlèvements, épidémies inconnues, attentats géants, femmes battues, opérations suicide. Elle a aussi inventé le sourire de Ségolène Royal. C’est un spectacle de science-fiction que de le voir flotter en triomphe, les soirs électoraux, chaque fois que la gauche, par la grâce des bien-votants, se trouve rétablie dans sa légitimité transcendantale. On en reste longtemps halluciné, comme Alice devant le sourire en lévitation du Chat de Chester quand le Chat lui-même s’est volatilisé et que seul son sourire demeure suspendu entre les branches d’un arbre.
On tourne autour, on cherche derrière, il n’y a plus personne, il n’y a jamais eu personne. Il n’y a que ce sourire qui boit du petit-lait, très au-dessus des affaires du temps, indivisé en lui-même, autosuffisant, autosatisfait, imprononçable comme Dieu, mais vers qui tous se pressent et se presseront de plus en plus comme vers la fin suprême.
C’est un sourire qui descend du socialisme à la façon dont l’homme descend du cœlacanthe, mais qui monte aussi dans une spirale de mystère vers un état inconnu de l’avenir où il nous attend pour nous consoler de ne plus ressembler à rien.
C’est un sourire tutélaire et symbiotique. Un sourire en forme de giron. C’est le sourire de toutes les mères et la Mère de tous les sourires.
Quiconque y a été sensible une seule fois ne sera plus jamais pareil à lui-même.
Comment dresser le portrait d’un sourire ? Comment tirer le portrait d’un sourire, surtout quand il vous flanque une peur bleue ? Comment faire le portrait d’un sourire qui vous fait mal partout chaque fois que vous l’entrevoyez, mal aux gencives, mal aux cheveux, aux dents et aux doigts de pieds, en tout cas aux miens ?
Comment parler d’un sourire de bois que je n’aimerais pas rencontrer au coin d’un bois par une nuit sans lune ?
Comment chanter ce sourire seul, sans les maxillaires qui devraient aller avec, ni les yeux qui plissent, ni les joues ni rien, ce sourire à part et souverain, aussi sourd qu’aveugle mais à haut potentiel présidentiel et qui dispose d’un socle électoral particulièrement solide comme cela n’a pas échappé aux commentateurs qui ne laissent jamais rien échapper de ce qu’ils croient être capables de commenter ?
C’est un sourire qui a déjà écrasé bien des ennemis du genre humain sous son talon de fer (le talon de fer d’un sourire ? la métaphore est éprouvante, j’en conviens, mais la chose ne l’est pas moins) : le bizutage par exemple, et le racket à l’école. Ainsi que l’utilisation marchande et dégradante du corps féminin dans la publicité.
Il a libéré le Poitou-Charentes en l’arrachant aux mains des Barbares. Il a lutté contre la pornographie à la télé ou contre le string au lycée. Et pour la cause des femmes. En reprenant cette question par le petit bout du biberon, ce qui était d’ailleurs la seule manière rationnelle de la reprendre ; et de la conclure par son commencement qui est aussi sa fin.
On lui doit également la défense de l’appellation d’origine du chabichou et du label des vaches parthenaises. Ainsi que la loi sur l’autorité parentale, le livret de paternité et le congé du même nom. Sans oublier la réforme de l’accouchement sous X, la défense des services publics de proximité et des écoles rurales, la mise en place d’un numéro SOS Violences et la promotion de structures-passerelles entre crèche et maternelle.
C’est un sourire près de chez vous, un sourire qui n’hésite pas à descendre dans la rue et à se mêler aux gens. Vous pouvez aussi bien le retrouver, un jour ou l’autre, dans la cour de votre immeuble, en train de traquer de son rayon bleu des encoignures suspectes de vie quotidienne et de balayer des résidus de stéréotypes sexistes, de poncifs machistes ou de clichés anti-féministes. C’est un sourire qui parle tout seul. En tendant l’oreille, vous percevez la rumeur sourde qui en émane et répète sans se lasser : « Formation, éducation, culture, aménagement du territoire, émancipation, protection, développement durable, agriculture, forums participatifs, maternité, imaginer Poitou-Charentes autrement, imaginer la France autrement, imaginer autrement autrement. »
Apprenez cela par cœur, je vous en prie, vous gagnerez du temps.
Je souris partout est le slogan caché de ce sourire et aussi son programme de gouvernement. C’est un sourire de nettoyage et d’épuration. Il se dévoue pour en terminer avec le Jugement Terminal. Il prend tout sur lui, christiquement ou plutôt ségolènement. C’est le Dalaï Mama du III e millénaire. L’Axe du Bien lui passe par le travers des commissures. Le bien ordinaire comme le Souverain Bien. C’est un sourire de lessivage et de rinçage. Et de rédemption. Ce n’est pas le sourire du Bien, c’est le sourire de l’abolition de la dualité tuante et humaine entre Bien et Mal, de laquelle sont issus tous nos malheurs, tous nos bonheurs, tous nos événements, toutes nos vicissitudes et toutes nos inventions, c’est-à-dire toute l’Histoire. C’est le sourire que l’époque attendait, et qui dépasse haut la dent l’opposition de la droite et de la gauche, aussi bien que les hauts et les bas de l’ancienne politique.
Un sourire a-t-il d’ailleurs un haut et un bas ? Ce ne serait pas démocratique. Pas davantage que la hiérarchie du paradis et de l’enfer. C’est un sourire qui en finit avec ces vieilles divisions et qui vous aidera à en finir aussi. De futiles observateurs lui prédisent les ors de l’Élysée ou au moins les dorures de Matignon alors que l’affaire se situe bien au-delà encore, dans un avenir où le problème du chaos du monde sera réglé par la mise en crèche de tout le monde, et les anciens déchirements de la société emballés dans des kilomètres de layette inusable.
Quant à la part maudite, elle aura le droit de s’exprimer, bien sûr, mais seulement aux heures de récréation. Car c’est un sourire qui sait, même s’il ne le sait pas, que l’humanité est parvenue à un stade si grave, si terrible de son évolution qu’on ne peut plus rien faire pour elle sinon la renvoyer globalement et définitivement à la maternelle.
C’est un sourire de salut public, comme il y a des gouvernements du même nom.
C’est évidemment le contraire d’un rire. Ce sourire-là n’a jamais ri et ne rira jamais, il n’est pas là pour ça. Ce n’est pas le sourire de la joie, c’est celui qui se lève après la fin du deuil de tout.
Les thanatopracteurs l’imitent très bien quand ils font la toilette d’un cher disparu.

samedi 12 avril 2014

Le socialiste Pascal Lamy prône la suppression du Smic:: Novopress.info – arme de réinformation massive

Le socialiste Pascal Lamy prône la suppression du Smic:: Novopress.info – arme de réinformation massive
La semaine dernière, l’ancien commissaire européen Pascal Lamy déclarait : « Il faut, à ce niveau de chômage, aller davantage vers la flexibilité et vers des boulots qui ne sont pas forcément payés au Smic. Un petit boulot, c’est mieux que pas de boulot ».

Que des économistes libéraux en arrivent à ce genre de conclusion ne me choque pas du tout . Chaque système économique porte à la fois ses axiomes et ses conséquences sur la société.

Que le prétendu socialisme contemporain  qui n'est qu'un outil d'endormissement de ce qu'on appelait autrefois "les masses laborieuses", en arrive aux mêmes conclusions, inspirées par des socialistes de la plus belle eau comme la banque Goldman&Sachs, pourrait nous faire croire qu'il existe en la matière une vérité universelle (de même que la démocratie en serait une autre)  .

Après le libéralisme, le marxisme qui tendent de plus en plus vers un but commun, il reste à inventer une troisième et pourquoi pas une quatrième voie.

Post-scriptum je sais que ce que je vais faire c'est bas mais lorsqu'il était à l'OMC en 2009, le pauvre Pascal ne touchait que 316 000 euros annuels et revendiquait à l'époque une augmentation modeste de 32% ... oui c'est bas , mais j'assume.

vendredi 11 avril 2014

SCOOP !

Patrick Bruel-Benguigui refuse désormais de chanter dans les communes où le FN l'a emporté.
Quel scoop !

Outre que cela montre bien en quel respect Bruel tient la démocratie, ce qui n'étonnera pas vraiment grand monde, nous suggérons à ce cher Patrick de pousser jusqu'au bout non pas la chansonnette, ce n'est plus qu'un cheval de retour, mais la logique de sa position et d'aller chanter là où on l'aime vraiment, dans son pays Israël.


Mais bon, magnanimes, nous lui pardonnerons cette petite faiblesse pour tenter de relancer sa carrière, parce que pour en être réduit à chanter à Hénin-Bomont, il faut vraiment être dans la dèche.

Sans rancune . Casse-toi et prend la voie !

mardi 8 avril 2014

#NoZilla : désintallez Firefox | CitizenGO

#NoZilla : désintallez Firefox | CitizenGO



Brendan Eich, (l’ancien) directeur général de Mozilla - qui a créé et entretenu le navigateur Firefox – a été forcé de démissionner pour avoir soutenu la vraie définition du mariage, une union légale entre un homme et une femme.

Eich a fait don de 1000 $ à une campagne lancée pour protéger la définition du mariage en Californie. Des groupes LGBT ont diffusé cette information et ont appelé le conseil d'administration de la société Mozilla afin de virer Eich.

Mozilla a cédé à la demande du groupe LGBT en forçant Eich à démissionner. Rejoignez l’engagement de NoZilla et faites entendre votre voix.

lundi 7 avril 2014

Humanitaire et démocratie, les mamelles de la discorde.

Il y a au moins deux choses dont il ne faut pas se mêler en Afrique, c'est l'humanitaire et la démocratie, ce dont nous sommes malheureusement coutumiers.

L'humanitaire,  parce que nous serons toujours accusés d'en avoir fait trop pour l'un et pas assez pour l’autre, de nous être mêlés d'affaires intérieures et finalement accusés d'avoir participé à un génocide, ce crime juste en dessous de la Shoah dans la vulgate mondialiste.
De plus, et là je sais que je vais être traité d'horrible bonhomme, pourquoi favoriser l'expansion d'une population incapable de se prendre ne charge et qui déborde par à coups ici créant les problèmes sociaux et démographiques dans lesquels nous nous débattons ?

La démographie, parce que cette croyance selon laquelle notre modèle de société dite démocratique, en fait une sorte d'oligarchie élective et cooptative serait, selon nous, un modèle idéal et universel.

Pour prendre l'exemple du Rwanda, qui est à la mode ces jours-ci, le modèle démocratique imposé par l'Occident et la France en particulier a fait que l'ethnie majoritaire Hutue avait la majorité démocratique et personne n'y pouvait rien. Naturellement l'ethnie minoritaire,  les Tutsis, ethnie traditionnellement détentrice du pouvoir considéra cela comme un casus belli . Parce que dans la plupart des pays africains aux frontières artificielles, cela fonctionne ainsi. On relèvera au passage les risques encourus lorsqu'on foule aux pieds les nations.

Ça s'est terminé, comme souvent en Afrique, au coupe-coupe. On connait l'histoire de ce massacre de population.

Ou plutôt, non, on ne la connait pas très bien.
Il y avait, avant les accords d'Arucha, accord destinés à revenir sur l'application stricto sensu des principes démocratiques, des troupes françaises au Rwanda au titre de ce qu'on appelle des conseillers militaires. Ceux-ci aidaient l'armée rwandaise-hutu à contenir la rébellion tutsie soutenue, en particulier, depuis l'Ouganda.
Les négociations d'Arusha ont été conduites en Tanzanie. Cinq accords furent signés à partir de juillet 1992. Le dernier accord fut signé le . Ces accords prévoient à terme l'intégration politique et militaire des différentes composantes internes et externes de la nation rwandaise et le départ des troupes françaises (à partir d'août 19921). Une mission des Nations Unies, la MINUAR, fut créée le 5 octobre 1993 pour veiller à leur application.(Wikipédia)
Quand les troupes françaises garantes d'une certaine stabilité se furent retirées, les Tutsis mettant en oeuvre des ruptures de cessez le feu successives balayèrent  les éléments armés Hutus, mettant à profit l'assassinat du signataire des accords d'Arusha, le président Hutu du Rwanda, autant victime de ses assassins, très probablement Tutsis, que des nations occidentales à côté de leurs pompes, comme d'habitude en Afrique depuis la décolonisation.
En réaction, des milices hutues massacrèrent celle qu'elles considéraient comme une menace, la population tutsie.
Aucune participation, ni avant, ni pendant, de l'armée française n'en déplaise à Kagamé et à deux ou trois pisse-copies du Monde. Il n'y avait plus d'armée française sur place .

L'armée française est revenue ensuite, après le début des massacres pour  les arrêter — on revient dans l'humanitaire — sécuriser les populations, désarmer les milices et accessoirement empêcher les glorieuses forces tutsies de régler son compte à une grande partie de la population hutue . Et de ça, le criminel Kagamé nous en veut beaucoup .
Les criminels de guerre endurcis n'aiment pas qu'on les arrêtent dans leur élan, c'est un peu comme lorsqu'on tague un gribouillis d'art contemporain, l'oeuvre perd en perfection.

vendredi 4 avril 2014

Le mal français

Certes le titre de cet article n'est pas très original, mais le sujet ne l'est pas non plus, malheureusement.

A l'occasion des municipales, le président Hollande a cru bon d'opérer un remaniement ministériel.
En fait personne ne pouvait le lui imposer et d'autres présidents comme Mitterrand s'en seraient peut-être sortis par une de ces phrases dont il avait le secret.
Les observateurs politiques dont certains réclamaient à cors et à cris un remaniement ministériel, ont jubilé lorsque celui-ci a été décidé.
Ils espéraient un changement de cap, que le président "avait entendu le cri du peuple" et autres bêtises.
Or, au choix, la gauche actuelle est, soit hémiplégique , soit autiste, mais c'est sûr, elle a un grave problème de relation avec le monde extérieur, avec ce qui n'est pas son cercle de rêveurs dogmatiques.

Le premier ministre nommé, puis les ministres. Que voit-on ? Rien !

Il n'y a aucun changement de ligne, le camp des sectaires est toujours là, la préférence au glandeur est toujours de mise, l'oeuvre de destruction du pays va continuer.

Les Français pense-t- on voté contre la destruction de l'école, on opère un changement d'individu mais pas de ligne dogmatique.

Les Français ont-ils voté pour plus de sécurité ? Ils vont être servis ! la loi Taubira sur la réduction des peines va se mettre en place probablement dans le cours de l'année.

Les Français auraient voté pour un assainissement des finances publiques ? pas de problème on va écraser d'impôts ceux qui produisent de la richesse pour ne pas diminuer les allocations qui tous les jours s'envolent vers le tiers monde par Western Union.

On reprend quelques chevaux ou juments de retour pour l'habillage médiatique et hop ! le tour est joué. Je suis presque étonné que DSK n'entre pas au gouvernement.

Tout ceci constitue un des éléments du mal français, cette impossibilité d'évoluer dans la souplesse, de s'adapter aux circonstances, d'être pragmatique. La classe politique vise à l'auto-suffisance. Il n'y a aucun renouvellement, aucune sanction. Untel part en prison, qu'importe il reviendra dans une mandature ou deux. Les procès en abus de biens, abus d'influence se suivent et se ressemblent, menés par un pouvoir judiciaire qui traîne son lot de casseroles, à tel point que faire confiance à la justice de son pays relève le plus souvent de la démarche suicidaire. Je l'avoue, je ne suis pas très optimiste pour l'avenir.

Nous n'avons pas le choix. Les prochaines élections sont dans quelques semaines.

Pas une voix pour l'UMPS !



mardi 1 avril 2014

Poisson d'avril !

Quand l'actualité est si cocasse à quoi bon aller inventer un poisson d'avril ?