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lundi 12 avril 2010

Il fait bon vivre dans la France de demain ou les hyènes sont entrées dans la ville

Par Le Parisien
Martin, un jeune cartographe de 24 ans, a été «lynché gratuitement» vendredi soir, place Grenette, dans le centre-ville de Grenoble, par un groupe d'une quinzaine de jeunes. Inconscient et saignant abondamment, il a été transporté dans un état critique au CHU de Grenoble.

Selon le Dauphiné libéré, le jeune homme est resté toute la nuit entre la vie et la mort.
Une importante hémorragie s'est produite au niveau pulmonaire et il a dû être opéré de toute urgence. Les informations qui ont filtré samedi faisaient état, dans l'après-midi, d'une amélioration de son état de santé, qui demeurait toutefois très préoccupant.

Poignardé et frappé à la tête

Revenant d'une soirée avec trois amis, la victime a été très violemment frappée à coups de pieds au visage, avant de recevoir deux coups de couteau au bras et dans le dos. «Les médecins sont réservés quant à de possibles séquelles neurologiques», a rapporté la police.

Âgés d'une vingtaine d'années, les agresseurs venaient d'être expulsés du tramway. A ce moment, la victime et ses amis en descendaient également. Une cigarette a été demandée et aussitôt les insultes se sont mises à pleuvoir... Alors que les quatre jeunes gens tentaient de s'éloigner en ignorant le groupe, l'un d'eux a été attaqué. Rapidement mis à terre, ses agresseurs s'acharnaient sur lui à grands coups de pieds. Le jeune homme a été poignardé à deux reprises et ses agresseurs ont pris la fuite. Ils étaient toujours activement recherchés dimanche.

On attend avec impatience de voir la tête des "jeunes" en question.
Déjà quinze contre un j'ai une petite idée, mais bon ... Il faut quand même que les Français de souche arrêtent de vouloir vérifier de près si les "jeunes" portent des chaussures de marque et si leurs lames sont de bonne facture.
A rapprocher du fait suivant qui n'a "aucune couverture médiatique".

AFP
Scandant "Pas d'impunité, on veut la vérité" et "le temps des ratonnades, c'est fini!", les manifestants (500 selon la police, un millier selon les organisateurs) ont marché entre la place de la République et celle de la Bastille derrière une banderole demandant "Justice pour Saïd".

"Il y a deux poids deux mesures", a dénoncé le secrétaire général de l'UAM 93, Henniche M'Hammed.

"Dès qu'un Arabe vole une vieille dame, il fait la une du journal télévisé, là, on ne dit pas un mot des criminels. Pourquoi?", a-t-il demandé, en dénonçant un "crime raciste".

"L'affaire est bâclée. Je souhaite que la vérité soit dite, pour mon mari", a dit à l'AFP la veuve du vigile, Nathalie Bourarach.

Quatre personnes ont été mises en examen et placées en détention après la découverte du corps du vigile le 31 mars dans le canal de l'Ourcq.

Une altercation avait opposé le 30 mars ce vigile d'un magasin de bricolage à un client qui voulait entrer après la fermeture pour y acheter un pinceau et de la peinture. La dispute avait été suivie d'une course poursuite entre le vigile et le client, qui avait appelé trois hommes en renfort.

Le vigile, un père de famille âgé de 35 ans, est décédé par noyade, selon l'autopsie.

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