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mardi 14 août 2012

Les kaïras fêtent les Cent jours

Et se rappellent au bon souvenir de leur candidat, le président normal qui batifole au bord de la Méditerranée en boxer short bleu, avec sa douce moitié,  maîtresse Valérie.
Naturellement, on a déjà vu ça dans le passé et comme le dit le petit poème, "plus qu'hier et bien moins que demain ".
Ce qui est symptomatique de la gauche au pouvoir, c'est l'électroencéphalogramme plat du gouvernement et l'annonce d'une ouverture d'enquête pour contrôler le comportement des policiers !
On n'attend plus que la visite de Valls et de Taubira quand ça se sera calmé, courageux mais pas téméraires, pour visiter les "grands frères, les imams et les assurer de la solidarité gouvernementale. Un aide financière à la construction d'un centre de loisirs — pour pouvoir dealer à l'abri de la pluie — et d'une mosquée sera la bienvenue.



5 commentaires:

  1. Comme un cadeau pour l' anniversaire de Holelande...imaginez si ces "djeunes sauvageons" avaient habité à proximité d' une forêt.

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  2. la ville leur est trop nécessaire pour survivre.

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  3. La ville leur est nécessaire pour survivre, et ça fait le bonheur des sociologues qui pensent être ceux qui ont le mieux compris les cailleras.

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  4. Il s'agit surtout de marquer un territoire, de sanctuariser une zone et de montrer sa force. Ne doutons pas qu'avec des gélatineux et une pétroleuse nos cailleras sauront marquer de plus en plus de points!

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