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mardi 11 novembre 2014

Iconoclaste

Je ne comprends pas cet engouement à célébrer et commémorer la guerre de 14 pour des raisons qui me paraissent obscures et douteuses.
La Grande Guerre, c'est le suicide collectif de la race blanche et tout particulièrement le suicide de la civilisation européenne.
Faut-il vraiment commémorer cela ?
D’un autre côté je comprends bien que cela fasse jouir les apatrides mondialistes que je voyais vautrés dans des fauteuils sous un auvent quand les anciens combattants se tenaient raides et dignes tenant leurs drapeaux en plein air, dans le froid. Une belle image de la république contemporaine !

Après 18, l'Amérique prend la relève et le centre du monde se déplace à l'Ouest.

A l'Est, la prometteuse Russie se voit coupée du reste du monde pour près d'un siècle compromettant ainsi l'émergence d'une civilisation européenne encore plus puissante.
Inutile de rappeler les conséquences désastreuses  de la seconde Guerre Mondiale, fille de la Grande guerre qui a contribué à mettre définitivement l'Europe à la merci de la mercantile Amérique.

Alors oui, pensons à nos ancêtres qui ont souffert ou sont morts pour rien, pour des intérêts qui n'étaient pas vraiment les leurs, mais cessons d'en faire  un modèle contre je ne sais quelles dérives idéologiques qui n'ont rien à voir avec le contexte de l'époque.

7 commentaires:

  1. S'il y eut "suicide de la race blanche", ce fut un suicide organisé, programmé par les ancêtres de ceux qui se réjouissent tant de ces commémorations. Il y aurait beaucoup à mettre en lumière sur le rôle des uns et des autres dans cette catastrophe et dans ses conséquences, (révolution russe, nazisme, montée en puissance de l'Amérique, chute des monarchies etc.. etc...) Cette face cachée de l'Histoire du XXème siècle risquerait d'être un peu différente de ce qu'on nous raconte depuis un siècle !

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  2. je pense que nous connaissons au moins en partie la réponse mais nous savons aussi qu'il ne vaut mieux pas en parler publiquement.

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  3. "D’un autre côté je comprends bien que cela fasse jouir les apatrides mondialistes que je voyais vautrés dans des fauteuils sous un auvent quand les anciens combattants se tenaient raides et dignes tenant leurs drapeaux en plein air, dans le froid. Une belle image de la république contemporaine !"

    Cette fois-ci, les anciens combattants étaient sous le soleil et dans le froid.
    La dernière fois, pour le débarquement, ils étaient debout en plein soleil, tandis que les petits grands de ce monde étaient vautrés sous des chapiteaux, et assis.

    Même délit, même punition...

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  4. pour paraphraser la chanson "un petit cheval blanc" "tous assis et eux debout "

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  5. Parfaitement d'accord. Même si tout est déjà dans le Voyage au bout de la nuit(1932), il faut savoir gré à Venner d'avoir résumé de manière magistrale ce suicide de l'Europe.

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  6. bonjour Ivane.
    nos descendants, si nous en avons, des descendants culturels s'entend auront certainement du mal à comprendre ce siècle

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