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vendredi 9 février 2018

Pour le Conseil Constitutionnel, la nationalité fançaise n'est porteuse d'aucun droit spécifique

Par sa récente décision relative aux indemnisations liées à la guerre d'Algérie, le Conseil Constitutionnel confirme que son rôle est avant tout d'assurer sa pleine part dans l’œuvre mondialiste de démembrement de la nation française.
En effet, en accordant le droit à pension à toute personne, française ou non, ainsi qu'à ses ayants droit, ayant subi des dommages physiques pendant la guerre d'Algérie, le Conseil ouvre une boite de Pandore insondable. D'une part, en quarante ans, la population algérienne s'est étendue de manière exponentielle, pour un pépé blessé dans les rangs de FLN (pourquoi serait-il exclu des indemnités ? ) il y a aujourd'hui peut-être trente ou quarante petits enfants, C'est bientôt toute l'Algérie qu pourrait prétendre à ces prébendes ; d'autre part, en déniant au législateur le droit de prendre des décisions spécifiquement à l'avantage des citoyens français, le Conseil nie l'existence même de la nationalité et des droits qu'elle engendre, étant en cela parfaitement constant dans sa jurisprudence délétère au nom d’une interprétation vicieuse du principe d'égalité.

Plus que les djihadistes, nos ennemis sont au sommet de l’État. Si la France est aujourd'hui divisée ce n'est pas que dans le sens vertical entre classes ou français de souche et étrangers, c'est d'abord dans le sens horizontal entre le peuple et une classe gouvernante qui s'est arrogé tous les pouvoirs et telle un cancer qui détruit l'organisme qui le fait vivre,  détruit la nation et le pays qui la nourrit. Ce comportement à la fois suicidaire et destructeur entraîne de facto des conséquences létales pour le pays mais aussi pour ces individus dévoyés.


Les fauteurs de trouble :
  • Laurent FABIUS, nommé par le Président de la République en février 2016
  • Valéry GISCARD D'ESTAING, membre de droit *
  • Michel CHARASSE, nommé par le Président de la République en février 2010
  • Claire BAZY MALAURIE, nommée par le Président de l'Assemblée nationale en août 2010
  • Nicole MAESTRACCI, nommée par le Président de la République en février 2013
  • Lionel JOSPIN, nommé par le Président de l'Assemblée nationale en décembre 2014
  • Jean-Jacques HYEST, nommé par le Président du Sénat en octobre 2015
  • Michel PINAULT, nommé par le Président du Sénat en février 2016
  • Corinne LUQUIENS, nommée par le Président de l'Assemblée nationale en février 2016
  • Dominique LOTTIN, nommée par le Président du Sénat en octobre 2017

11 commentaires:

  1. Pakounta9/2/18 15:53

    Le destin de la France aux mains d'une poignée d'inconnus surpayés, dirigés par un (((ennemi))) depuis des décennies.
    Saleté de Conseil, chargé de veiller au respect de la Constitution mais qui ne s'est jamais opposé aux révisions qui ont transformé le pays souverain en un département sous gestion d'un groupe d'inconnus surpayés et non élus, la Commission européenne.
    Il faut sortir les fourches et virer toute cette crasse, les lampadaires ne sont pas faits seulement pour accueillir la pisse des chiens.

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    1. Ils ne sont pas tous inconnus, il me semble distinguer un ancien président, deux anciens Premier Ministre, un ancien ministre des finances, des gens qui au-delà de leurs tendances politiques ne peuvent ignorer la portée de ce type de décision.

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  2. Pakounta9/2/18 16:03

    La mère Bazy Malaurie, qui n'a jamais bossé ou fait quoi que ce soit d'utile, a un lourd pedigree dans ce genre de décision folle, puisqu'elle s'est déjà préoccupée de la petite santé de nos (((amis))) en étant, de 1999 à 2002, "membre de la commission pour l'indemnisation des victimes de spoliations intervenues du fait des législations antisémites en vigueur pendant l'Occupation". 77 ans après, on indemnise les juifs spoliés (?), alors pourquoi pas les Arabes 60 ans après ? C'est pas cher, c'est l'Etat qui paye.

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    1. On a beau faire, c'est comme dans un tourbillon on (((y))) revient encore et encore

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    2. EQUALIZER10/2/18 23:25

      C' est sibyllin ;)

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    3. nécessité fait loi ;-)

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  3. EQUALIZER10/2/18 09:03

    "une interprétation vicieuse du principe d' égalité" ... c' est bien le problème . L' égalité des citoyens suppose d' être membre d' une même communauté organisée qui garantie des droits que l' état de Nature ignore . A quand des indemnités pour les vietnamiens communistes "victimes" de la guerre d' Indo ? et toute l' Afrique aussi ? le conseil constitutionnel dépasse ses prérogatives . Le coup d' état permanent ?

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    1. C'est clair, avec sa prétention à l'universalisme la république franc-maçonne ne peut aboutir qu'à la destruction de la nation française, à sa dissolution dans le Grand Tout .
      Quand je parle d'interprétation vicieuse, elle est non seulement vicieuse dans l'esprit mais contraire à la lettre même de la Constitution qui pose "l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction ..." Article 2.
      Il n'y a aucune ambiguïté, aucune interprétation possible. Tout l’échafaudage constitutionnel mis sur pied depuis des décennies par ces juristes ou pseudos juristes ne résisterait pas deux minutes devant la critique d'un étudiant de Droit en deuxième année.
      C'est révulsant et scandaleux. Ce n'est que grâce à la complicité de la classe politique dans son ensemble que ce genre de chose est possible.

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  4. EQUALIZER10/2/18 23:22

    Oui , je me suis assez emmerdé , jeune , avec l' épreuve de droit constitutionnel .. même la Déclaration des droits de l' homme ET du citoyen , fondement de la Constitution ! a eu son sens subverti par le C.C. et là , on touche le fond .. mais y a t-il un fond ?

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    1. il n'y a pas de fond : on aurait dû le toucher depuis longtemps

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